« Si Hamon avait retiré sa candidature, il serait premier ministre et moi président »
(http://www.lemonde.fr/tiny/5185401/) 🤦🏻
Et si tu n’étais pas populiste, démago, nombriliste, bourré d’orgueil,… Et si c’était toi qui avait retiré ta candidature ? Et si, et si,…
ET SI SEULEMENT LES JOURNALISTES NE FAISAIENT PAS QUE RAPPORTER TES PROPOS ET TE METTAIENT UN PEU PLUS FACE À TES CONTRADICTIONS…
Il m’énerve cet égocentriste de #mélenchon 🙄
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@AdrienneCharmet Toi qui a migré, il y a des outils qui facilitent ça ? (pour aller chez mamot of course, qui n'existait pas quand j'ai créé le compte)
[BLOG] Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les présidents français, épisode 2/3, sur @franceinfo
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Bienvenue @tomroud ! *pouet*
Les copains si vous voulez suivre un super scientifique c'est ici !
Il y aurait une autre étude à faire que celle ci https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-politique/l-edito-politique-13-avril-2017 ce serait de regarder d'élection en élection (1981, 1988, 1995, 2002, 2007, 2012) l'évolution du côté au sein d'une classe d'âge. Ce serait intéressant de voir si l'électorat de Fillon de 2017 est celui de Mitterrand en 1981 avec un peu plus de vécu et d'expérience.
L'architecture et les débuts de Mastodon ça fait vachement penser à l'histoire d'IRC #TheGreatSplit : https://fr.wikipedia.org/wiki/EFnet
Un exemple d’inclusif qui en devient extrèmement exclusif je trouve…
https://unixcorn.xyz/about/more
Y en a un qui a du passer une mauvaise journée : Digital Ocean supprime accidentellement sa base de données de production
https://www.developpez.com/actu/129481/Digital-Ocean-supprime-accidentellement-sa-base-de-donnees-de-production-et-parvient-a-la-restaurer-avez-vous-deja-ete-confronte-a-un-tel-accident/
Profondément affecté, il est "extradé" de Turquie par ses amis intellectuels européens, vers Tbilissi d'abord, Paris ensuite. Complètement renfermé sur lui-même, refusant tout rappel du passé, Komitas meurt en 1935. Son corps est renvoyé en Arménie.
Mais c'est l'époque des purges staliniennes, les autorités n'aiment pas l'idée d'un prêtre héros national : le cimetière d'Erevan lui est refusé.
Komitas est alors enterré dans un parc, devenu ensuite le panthéon des artistes arméniens...
Jusqu'à 1915 il voyage dans l'Empire Ottoman, et se fait l'ambassadeur de la culture arménienne. Mais le génocide arrive.
Il est pris dans la 1ère rafle d'intellectuels arrêtés en avril 1915 à Istanbul, est battu, déporté, interné, maltraité. Il devient quasi fou.
Libéré à cause de sa notoriété, Komitas sombre dans le syndrome du survivant : il ne supporte pas d'avoir été épargné quand tant sont morts.